Sous la Grande Halle de la Villette ce week-end, le Mondial du Tatouage 2016 a accueilli 350 tatoueurs et une foule de passionnés. On a écouté le zinzin des petites machines de torture, observé les aiguilles déverser leurs couleurs sous les épidermes, et bien sûr, on a flashé les tatoueurs tatoués. Les photos du Mondial du tatouage 2016, à suivre.
Dans le cadre du festival Péril(s) dont la galerie Confluences organise la première édition cette année, les images de Lee Jeffries sont exposées. Sa série, Homeless, raconte la vie des habitants de la rue à travers des portraits puissants.
Derrière cette jolie devanture vert d’eau se cache Mokonuts. Une adresse cosy et savoureuse où officient Omar et Moko, couple dans la vie et en affaires. Outre les cafés et thés qu'on y boit toute la journée, on y déguste de super cookies et des plats du jour le midi.
Avenue du Maine, au numéro 21 s'ouvre l'allée de la Villa Vassilieff. À l'intérieur, on trouve la Fondation Pernod Ricard et depuis peu, le centre d'art de la Villa Vassilieff, nouveau lieu culturel à Paris. Gérée par Bétonsalon, elle héberge l'exposition Groupe Mobile jusqu'au 2 juillet.
Entre Ménilmontant et Oberkampf se mijote le dernier bal des toques parisiennes... Un lundi sur deux, Joséphine Caves Parisiennes ouvre sa cuisine aux chefs de la capitale avec l'Agenda des chefs, proposant dans un menu unique à 30€ une palette de leurs saveurs personnelles.
La pièce Ancien malade des hôpitaux de Paris, nouvelle écrite par Daniel Pennac est de retour au théâtre de l’Atelier. Dans ce seul en scène hilarant, baptisé monologue gesticulatoire
, un ancien des Deschiens en pleine forme : Olivier Saladin.
Déjà 11 éditions pour ce festival culinaire parisien Omnivore composé de plusieurs scènes : salé, sucré, liquide, artisan, avant-garde. Dégustations, dîners, masterclass, rencontres, bonne ambiance avec un invité à l’honneur, Montréal. On y court – un peu de sport avant cet événement gourmand ne nous fera pas de mal...
Le carambolage évoque des objets qui se percutent. Et ça fonctionne aussi avec l'art, dans l'exposition du même nom : Carambolages, au Grand Palais. Son commissaire Jean-Hubert Martin propose un concept novateur : mêler les genres, les époques, détruire les frontières de l'art et tout mettre ensemble. Jusqu'au 4 juillet.
Après l’apéro, le dîner, le déjeuner, voici venu le temps du petit déjeuner savoureux en dehors de chez soi. Chez BOL, le nouveau bar à porridge du 10ème, on se régale jusqu’à midi !
Jusqu'au 5 juin, la Fondation Cartier pour l'art contemporain accueille les photographies de l'artiste japonais Daido Moriyama. Dans Daido Tokyo, l'artiste révèle l'étrange comme l'habituel, et les visages de la ville de Tokyo. En couleurs.
Après un premier spectacle en 2015, Il faut que je vous parle !, Blanche Gardin n’avait finalement pas tout dit à son public et remonte sur la Nouvelle Seine pour un stand up sans limite, Je parle toute seule. Enfin seule, non, puisque son public l’accompagne hilare dans ses moindres vannes, même les plus choquantes...
Est-il nécessaire de rappeler à quel point l’humour de Stéphane Guillon est décapant ? Son dernier spectacle, Certifié Conforme, au théâtre Déjazet jusqu’au 30 avril s’en charge très bien tout seul. Certifié grinçant, mais certifié drôle.
Du 19 février au 16 mai, le Palais de Tokyo présente sa nouvelle saison : Arpenter l'intervalle. Au programme : des artistes aux styles éclectiques. Vous y verrez la sculpture de Sara Favriau, la vidéo de Shana Moulton, la peinture de Jean-Michel Alberola en autres.
Aux abords du Canal Saint-Martin côté Louis Blanc, la nouvelle vague de la table n’avait pas encore frappé. Jusqu’à ce qu’une drôle de méduse vienne s’y amarrer. Avec Hamza, un ancien du Mary Céleste aux cocktails, et Mathieu Moity aux fourneaux, La Méduse a de quoi piquer au vif.