Vernissage, Le cabinet des curiosités d'Axelle Remeaud
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Vernissage, Le cabinet des curiosités d'Axelle Remeaud

Événement publié par Coco V

date et heure

du à 18:30
au vendredi 28 mars 2014 à 02:00

tarif

Entrée libre

style

Dessins Sculptures Installation

Contact

01 58 30 76 17

infos

Le jeudi 27 Mars prochain, « Le cabinet des curiosités d’Axelle Remeaud » s’installe aux Dégommés, et ce jusqu’au 3 avril…
Immersion dans l’univers d’une artiste prometteuse et contemporaine que nous sommes fiers de présenter ! Ambiance… agrémentée par une playlist de circonstance, ainsi que par une petite recette de shots en mode « gnaule et remède de rebouteux » à prix doux (il faudra bien aussi boire une ou deux curiosités, tout de même). Ça promet !
Axelle Remeaud est une artiste française née à Lyon en 1984, qui vit et travaille à Paris. Lors de sa dernière exposition personnelle au Point Éphémère (mai 2013), voici ce que Florian Gaité, doctorant en philosophie de l’art, critique et commissaire d’exposition, écrivait au sujet de son travail :

« Quel effet le désir imprime-t-il sur notre perception des objets ? Cette question contemporaine, largement exploitée dans les mouvances du féminisme, de l’art corporel, de la photographie de l’« extime » ou de la sculpture biomorphique, trouve dans les propositions d’Axelle Remeaud l’occasion d’une synthèse esthétique, voire esthétisante. Ni renouvellement de la critique de l’aliénation sexuelle, ni grand discours sur l’émancipation, cette œuvre émergente neutralise les grands mots au profit des images.
{…} Bien que nourri des réflexions sur le corps féminin (de Woolf à Foucault), ce travail interroge moins la sexualité comme fait social qu’en tant que medium à part entière, ressort d’une fantasmatique inépuisable. Assumant l’héritage des plasticiennes qui lui ont ouvert la voie (davantage Claude Cahun, Mireille Havet et Kiki Smith que Bourgeois et Messager), Axelle Remeaud travaille en femme émancipée, affranchie, parfois éhontée, avec les codes de son propre corps, sans complaisance, ni victimisation, cherchant peut-être à expérimenter ce que Lacan entend par jouissance, le sentiment doux-amer du réel, qui va « de la chatouille à l’immolation ». »

Son travail est également visible aux jardins de Drulon, le sera bientôà la Glassbox, ainsi qu’aux portes ouvertes des ateliers de la forge de Belleville en mai.
Pour le reste la teuf ça se passe au Dégommés le 27 !! Bises à tous

Les Dégommés TM

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