adresse
tarif
7.80 €
style
Pop Rock
infos
VIOLENCE CONJUGALE (minimal synth / born bad / paris)
Issus de milieux complètement opposés - l'un est le descendant d'un riche industriel allemand et l'autre un fils d'artisan - André & Hans se rencontrent sur les bancs du lycée. Tous deux passionnés par Bowie & Kenneth Anger, ils préfèrent sécher les cours et passent leur temps à fumer en cachette dans la salle qui sert de ciné-club. C'est dans cet endroit qu'ils rêvent d'un futur idéal, fait de voyages dans l'espace et de musique industrielle. A l'étroit dans cette institution privée, ils décident de partir pour Berlin en se demandant quelle goût y a la décadence. Ils font la rencontre de Marianne Katza, femme excentrique s'il en est, qui leur propose de venir vivre dans un squat d'artiste situé dans le quartier de Mitte. A la manière de la Factory de Warhol, cet endroit est un perpétuel bouillonnement d'idées, de musiques, de drogues… André commence à bidouiller sur un Korg MS20 (il ne dira jamais d'où provenait l'argent pour un tel achat) et rêve de performances décadentes pendant que dans la pièce mitoyenne, Hans tente d'exorciser ses peurs en notant dès le réveil les rêves étranges qui habitent ses nuits. Marianne décide alors de les présenter à un de ses amants de l'époque, Marc Berron, un jeune fils à papa arrogant mais doté d'une oreille incroyable. C'est lui qui les aidera à freiner leur consommation de drogue et leur fera prendre une nouvelle direction : Celle d'une musique personnelle et froide, au format pop mais avec cette urgence qui caractérise la vie actuelle des jeunes berlinois.
MAGNETIC DAYS (kautrock dance / disques anonymes / rennes)
Projet né début 2013, Magnetic Days mélange habilement les rythmes enlevés de la house, les mélodies sucrées de la synth-pop et l'efficacité minimaliste du krautrock. Le duo se présente sur scène accompagné d'une batterie et de machines, lui permettant de donner vie à un univers singulier, vous invitant à un voyage initiatique, entre Death in Vegas, Crystal Castles et Koji Kondo (Super Mario / The Legend of Zelda).
MY DISCO JACKET (seattle du futur / disques anonymes / lille)
Rythmiques technoïdes, boucles et déflagrations 8-bits indie punk, incantations rauques, une décharge mélodique et au final, un son unique, emballant, moderne, léger et entêtant qui sait passer en un instant de l'émotion du chant à une bassline distordue qui fait lever les bras. On pense à l'electropunk de Kap Bambino, mais aussi à la shiny pop des Beach Boys ou des Talking Heads, qui auraient déménagé vers un Seattle du futur.
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